Le champion du monde remporte également la super finale du PWC

31 mars 2019

Pierre Remy a remporté la super finale PWC 2014 à Baixo Guandú, au Brésil, pour terminer la saison 2018 PWC. Mérylle Delferriere a dominé le classement féminin. Les gagnants: Pierre Remy et Méryl Delferriere // Source: PWCA Le résultat de la Super Finale PWC 2018 (tenue en 2019) a été extrêmement serré. Après neuf vols, le Français Pierre Remy (6351) devançait son compatriote Julien Wirtz (6349) avec seulement deux points. Troisième était le Britannique Russel Ogden (6311). Pour les femmes, la question était plus claire: la Française Mérylle Delferriere (6206) a distancé la Suisse Yael Margelisch (5967) de plus de 200 points. Troisième était Kari Ellis (5543) de l'Australie. Dans le classement des Nations, les cinq premiers sont les suivants: France, Italie, Suisse, Grande-Bretagne et Allemagne. Les conditions au Brésil avaient beaucoup à offrir: des tâches de fabrication lente sous des nuages denses à des courses à pleine vitesse, où 100 kilomètres avec de puissants thermiques de nuages avec une vitesse moyenne supérieure à 40 km / h en moins de deux heures ont été déroulés. Pierre Remy a montré sa classe surtout dans la deuxième moitié de la compétition où il a fait beau temps et y a toujours volé dans les 10 premières tâches. Ce n'est pas surprenant. Rémy a remporté le Championnat du monde Feltre en 2017. Ne pas sous-estimer la performance de Méryl Delferriere. Déjà à la Superfinale 2017, il y a un an à Roldanillo, elle occupait la 10ème place du classement général. Au total, elle est arrivée 7e cette année dans la pâte thermique au-dessus de la rivière. // Photo: Yassen Savov Les espoirs (secrets) de certains pilotes ne se sont pas réalisés que les nouveaux parapluies de cirque CCC, UP, Flow et Niviuk, appelés Guru, Spectra et Icepeak Evox attirent l'attention sur la prédominance de Ozone Enzos pourrait casser. En fait, les podiums étaient complètement équipés de pilotes pilotant un Enzo 3. Dans le top 20, 16 Enzos étaient représentés, trois Boomerang 11 et un seul Icepeak Evox à la 16ème place. Cependant, quelque chose ne signifie pas que les nouveaux parapluies ne seront pas compétitifs. Beaucoup dépend encore du pilote, et puisque l'élite mondiale n'est pas aussi disposée à changer d'écran. Cependant, aucun des nouveaux membres de la marque ne pourrait positionner son parapluie comme un must-have. Il reste à voir si cette image changera au cours de la saison. En passant, si vous souhaitez toujours vous imprégner de l'esprit de course d'une super finale PWC, lisez le compte rendu quotidien du jeudi 28 mars. Par Stefan Bernhard sur la page du concours DHV. Il décrit très clairement ce qui constitue le vol en PWC. Un petit extrait: "Ce sont les moments où j'aime vraiment voler. Pour résoudre des problèmes épineux avec les meilleurs pilotes du monde. Chaque participant à la super finale doit se qualifier à une Coupe du monde la saison dernière et voler dans une Coupe du monde Donc, si vous êtes au milieu de la classe, vous devez prouver votre classe en abondance avant de regarder, de scanner le terrain et de piloter, de fouiller sans arrêt, et dès que quelqu'un trouve des thermiques, l'essaim se déplace Il ne dure presque jamais plus d'un cercle jusqu'à ce qu'il soit centré - tous sont très concentrés, les distances sont parfois inférieures à un mètre, mais tout le monde se sent à l'aise parce que nous connaissons la classe de pilotes, qui pendent sous les parapluies. " Et pour tous ceux qui préfèrent regarder des images animées, voici une vidéo présentant les points saillants des dernières tâches de la Super Finale:

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